électronique Référendum d'Initiative Citoyenne
Pour prendre le contrôle chaque fois que c'est nécessaire

1. Pourquoi mettre la pression ?

Les élections sont le seul moment où les citoyens semblent importants aux yeux de leurs représentants politiques et cet événement n'arrivent plus que tous les cinq, ou six, ans.
Il faut profiter de l'occasion pour mettre la pression.

S'ils se mobilisent, les citoyens peuvent présenter aux candidats une pétition juste avant les élections.

Même sans reconnaissance légale, la pétition est une arme démocratique majeure, à condition d'être signée par la majorité des Belges.
Avec la majorité, les Belges obtiendront ce qu'ils réclament parce que, si les candidats résistent, ils s'éliront et le feront eux-mêmes.

2. Quel genre de pétition ?

Pétition n.f. (lat. petitio, de petere, demander).
Écrit adressé par une ou plusieurs personnes à une autorité pour exprimer une opinion, une plainte, présenter une requête.
Dictionnaire Larousse

Une pétition signée par la majorité des électeurs devient, à coup sûr, une loi.

La pétition est, d'ores et déjà, le moyen d'expression politique le plus accessible.

Interconnectés, tous les Belges, ou presque, peuvent écrire, signer et remettre une pétition.
Techniquement, une pétition écrite le matin peut être remise le soir même, signée par la majorité des citoyens.
Election, grève, manifestation...

Aucun autre moyen conventionnel ne peut rivaliser avec elle.

Voici les faiblesses que nous avons éliminées afin de rendre notre pétition efficace.

1- La pétition n'a pas de valeur légale
Même sans valeur légale, imaginez ce qu'il se passera lorsque nous présenterons, quelques mois avant les élections législatives, notre pétition signée par la majorité des électeurs belges.
Soyons clairs. Il est plus que probable que les politiciens la reconnaissent et font le nécessaire. Dans le cas contraire, nous votons pour nous et mettons en place l'éRIC nous-même. Avec quatre millions de signatures, tout est possible.

2- La pétition est contestable
La pétition classique par internet peut être signée plusieurs fois et peut être signée par des personnes qui n'ont rien à y voir.
Que vaudraient nos quatre millions de signatures dans ces conditions ? Pour résoudre ce problème, nous demandons son NI (numéros d'identification au registre national) au signataire. Uniquement si c'est indispensable, ces numéros permettront de comparer les noms et prénoms des signataires avec ceux du registre national et de valider ces signatures.
En attendant, toutes les coordonnées des signataires, y compris le NI, sont strictement confidentielles et le resteront, même dans le cas improbable d'une validation.

Que v'a-t-il se passer au début ?

Tout va se dérouler de façon tout à fait prévisible.
A partir d'un certain nombre de signatures, les médias vont commencer à s'intéresser au mouvement citoyen. Grâce à cette publicité, les citoyens signeront de plus en plus et la pétition deviendra incontournable. Incontournable au point d'instaurer l'éRIC, en Belgique, dès 2019.

Il faut moins de deux minutes, et trois clics, pour la signer. Si ce n'est fait, donnez une chance à la Belgique de devenir la première démocratie de l'Histoire et signez maintenant !

L'union fait la force